
Communiqué de presse du 18 octobre 2013 Pas de clause de conscience pour les maires homophobes ! Jean-Luc Romero l’affirme : « l’application de la loi de la République n’est pas à conscience variable » ! Par sa décision, le Conseil constitutionnel fait preuve de cohérence et met les maires devant leurs responsabilités : représentant l’Etat, ils doivent appliquer simplement les valeurs gravées au fronton de leurs mairies : Liberté, Egalité, Fraternité ! Au-delà de son évidente satisfaction, Jean-Luc Romero tient à souligner les grandes difficultés à cicatriser les plaies encore béantes causées par les opposants au mariage pour tous qui ont trouvé par le biais de ce débat démocratique un lieu pour déverser leur bile haineuse. Celles et ceux qui ont porté ce « discours » pendant des mois, anonymes, politiques ou people, portent une très lourde responsabilité dans ce déferlement d’homophobie. Pour autant, Jean-Luc Romero remarque que ces derniers ne semblent ni vouloir l’assumer ni encore moins s’en excuser. Jean-Luc Romero appelle les maires récalcitrants à s’occuper au mieux de leurs affaires locales plutôt que de porter haut et fort cette parole discriminatoire qui divise la France.
La presse en parle , extrait ...
Metro - "L'application de la loi de la République n'est pas à conscience variable", a salué le défenseur des droits des homosexuels Jean-Luc Romero (apparenté socialiste), se félicitant que "les maires homophobes" soient "mis devant leurs responsabilités".
Le Point - Le conseiller régional d'Ile-de-France Jean -Luc Romero, ex-UMP apparenté PS, s'est réjoui du rappel à la loi des "maires homophobes". "L'application de la loi de la République n'est pas à conscience variable", dit dans un communiqué ce militant de la cause homosexuelle.
AFP - tandis que Jean-Luc Romero, conseiller régional d'Ile-de-France (PS apparenté), fustigeait les "maires homophobes", les "opposants au mariage pour tous" et "leur bile haineuse".