Jean-Luc Romero
Président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité,
sera à Nevers
le mardi 23 mai 2017 à 17h30, il présidera une réunion publique de l’ADMD
Mercure Nevers Pont de Loire
Quai de Médine à Nevers
« 2017-2022 : Pour une loi visant à légaliser l’euthanasie et le suicide assisté et à assurer un accès universel aux soins palliatifs. »
Après la promulgation le 2 février 2016 de la proposition de loi Claeys/Leonetti, rédigée en dépit des attentes des Français,
des conclusions du Jury citoyen réuni par le Comité consultatif national d’éthique et de la promesse faite par le précédent président de la République en 2012,
il est plus que jamais nécessaire d’offrir aux Français une loi de liberté, une loi du choix, plaçant le patient au cœur de toute décision médicale de fin de vie.
La « nouvelle » loi de sédation, de dénutrition et de déshydratation n’est rien d’autre qu’un ripolinage consensuel, inhumain et hypocrite de la loi du 22 avril 2005 et du décret du 29 janvier 2010.
Rien d’autre… et surtout pas une loi de liberté puisque la volonté du patient ne sera toujours pas respectée, les directives anticipées ne devenant opposables que sous conditions !
Président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité,
sera à Nevers
le mardi 23 mai 2017 à 17h30, il présidera une réunion publique de l’ADMD
Mercure Nevers Pont de Loire
Quai de Médine à Nevers
« 2017-2022 : Pour une loi visant à légaliser l’euthanasie et le suicide assisté et à assurer un accès universel aux soins palliatifs. »
Après la promulgation le 2 février 2016 de la proposition de loi Claeys/Leonetti, rédigée en dépit des attentes des Français,
des conclusions du Jury citoyen réuni par le Comité consultatif national d’éthique et de la promesse faite par le précédent président de la République en 2012,
il est plus que jamais nécessaire d’offrir aux Français une loi de liberté, une loi du choix, plaçant le patient au cœur de toute décision médicale de fin de vie.
La « nouvelle » loi de sédation, de dénutrition et de déshydratation n’est rien d’autre qu’un ripolinage consensuel, inhumain et hypocrite de la loi du 22 avril 2005 et du décret du 29 janvier 2010.
Rien d’autre… et surtout pas une loi de liberté puisque la volonté du patient ne sera toujours pas respectée, les directives anticipées ne devenant opposables que sous conditions !